The real Jesus
Dec 21, 2008 08:14 AM
by christinaleestemaker
***http://www.gnmagazine.org/realstory/?
S=2&gclid=CJ_wptmD0pcCFcse3godVTQwCw
http://www.realtruth.org/wtc_005_081128.html?s_kwcid=ContentNetwork|
2848602587&gclid=CJ7mmp6E0pcCFcse3godVTQwCw
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Here I copied the pages from Collected writings on which they give me
the idea there was another Jesus, not the Nazareër.
HPB mentioned that that one was living a century before the Nazareër
and was cruzified on a tree.
The Nazareër was born 120 years BC.
Christina
Blavatsky Collected Writings, Volume 6 Page 238
FOOTNOTES TO"UNPUBLISHED WRITINGS OF ÉLIPHAS LÉVI"
[Journal of The Theosophical Society, Madras, Vol. I, No. 6,
June, 1884, pp. 82-83]
[To her own translation from the original French of Lecture Five in
this Series, H. P. B. appends the following two footnotes:]
According to the statement of Llorente (see American Encyclopaedia)*
from 1481 to 1808 there were burnt alive 31,912 persons; burned in
effigy 17,659, tortured and imprisoned 291,456. All that in the name
of "Jesus Christ" and by the supreme authority of the Pope, who
appointed the "apostolic" judges of the inquisition. This is not
"attacking Christianity," but simply stating historic facts.
??????????
Éliphas Lévi being a Catholic, still cherishes the idea that the Pope
of Rome is really the successor of Peter, who was made Bishop of Rome
by Jesus Christ. If it is admitted that Peter really was the first
Pope, then it follows logically that the "Roman Catholic" church is
really the only Christian church that has any legitimate existence,
and all the so-called protestant churches are only so many heresies
that ought to be rooted out; but biblical criticism has shown that
Peter had nothing whatever to do with the foundation of the Latin
church. "Petroma" was the name of the double set of stone tablets
used by the hierophant at all initiations during the final Mystery;
and the designation "Peter" (in Phoenician and Chaldaic, an
interpreter) appears to have been the title of this person. The
majority of critics show that the "apostle" Peter never was in Rome,?
and besides it is almost certain that the real "Jesus" of the
gospels, whose name was "Jehoshua, the Nazarene," lived a hundred
years before the Christian era.
??????????
* [H. P. B. has reference to the Encyclopaedia Americana. Edited by
Francis Lieber, assisted by E. Wigglesworth. Philadelphia: Carey, Lea
& Carey, 1829-33; also 1838,1848,1849. Article on "Inquisition," p.
33, where Llorente is referred to.??Compiler.]
??????????
in CW 8 pages THE ESOTERIC CHARACTER OF THE GOSPELS
page 189
Sephr Toldoth Jeshu, about Jesus being the son of one named Pandira,
and having lived -a century earlier- than the era called Christian,
namely, during the reign of the Jewish king Alexander Jannaeus and
his wife Salome, who reigned from the year 106 to 79 B.C. Accused by
the Jews of having learned the magic art in Egypt, and of having
stolen from the Holy of Holies the Incommunicable Name, Jehoshua
(Jesus) was put to death by the Sanhedrin at Lüd. He was stoned and
then crucified on a tree, on the eve of Passover. The narrative is
ascribed to the Talmudistic authors of Sotah and Sanhedrin, p. 19,
Book of Jechiel. See Isis Unveiled, II, 201; Arnobius [Adv. Gentes,
I, 43]; 24 Éliphas Lévi's La Science des Esprits [pp. 23-40], and
"The Historical Jesus and Mythical Christ," a lecture by G. Massey.
Having drawn to Madame Blavatsky's attention that, according to
certain scholars, this assertion is erroneous, she answered as
follows: "I say the scholars are either lying or talking nonsense.
Our Masters affirm the statement. If the story of Jehoshua or Jesus
Ben-Pandira is false, then the whole Talmud, the whole Jewish Canon
is false. He was the disciple of Jehoshua Ben Perahiah, the fifth
President of the Sanhedrin after Ezra who re-wrote the Bible.
Compromised in the revolt of the Pharisees against Jannaeus in 105
B.C., he fled into Egypt carrying the young Jesus with him. This
account is far truer than that of the New Testament which has no
record in history."
[Reference is here made to the tradition preserved in the Gemara of
the Babylonian Talmud, namely in the treatises known as Sotah (chap.
ix, 47a) and Sanhedrin (chap. xi, 107b). Consult in this connection
H. P. B.'s article, "A Word with the Theosophists" (The Theosophist,
Vol. IV, March 1883, pp. 143-145; re-published in Vol. IV, of the
present Series); a footnote embodied in the 2nd installment of her
essay, "The Esoteric Character of the
CW IX Page 204
fondée, ainsi que je l'ai démontré à diverses reprises dans mes
écrits et dans mes notes, sur l'existence d'un personnage nommé
Jehoshua (dont on a fait Jésus), né à Lüd ou Lydda vers l'an 120
avant l'ère moderne. Et si l'on contredit ce fait?ce à quoi je ne
m'oppose guère?il faudra en prendre son parti et regarder le héros du
drame du Calvaire comme un mythe pur et simple. En effet, malgré
toutes les recherches désespérées faites pendant de longs siècles, si
on laisse de côté le témoignage des «Evangélistes», c'est-à-dire
d'hommes inconnus dont l'identité ne fut jamais établie, et celle des
Pères de l'Église, fanatiques intéressés, ni l'historre, ni la
tradition profane, ni les documents officiels, ni les contemporains
du soidisant drame, n'ont pu fournir une seule preuve sérieuse de
l'existence réelle et historique, non seulement de l'Homme-Dieu mais
même du nommé Jésus de Nazareth, depuis l'an 1 jusqu'à l'année 33.
Tout est ténèbre et silence. Philon de Judée, né avant l'ère
chrétienne et mort longtemps après l'année où, d'après Renan,
l'hallucination d'une hystérique, Marie de Magdala, donne un Dieu au
monde, Philon fit dans cet intervalle de quarante et quelques années
plusieurs voyages à Jérusalem. n y alla pour écrire l'histoire des
sectes religieuses de la Palestine à son époque. Il n'est pas
d'écrivain plus correct dans ses recits, plus soucieux de ne rien
omettre: aucune communauté, aucune fraternité, fût-elle la plus
insignifiante, ne lui échappe. Pourquoi donc ne parle-t-il pas des
Nazaréens? Pourquoi ne fait-il pas la plus lointaine allusion aux
Apôtres, au Galiléen divin, à la Crucification? La réponse est
facile. Parce que la biographie de Jésus fut inventée après le
premier siècle et que personne, à Jérusalem n'était plus renseigné
que Philon sur ce sujet. On n'a qu'a lire la querelle d'Irénée avec
les gnostiques, au IIe siècle, pour s'en assurer. Ptolémée (l'an 180)
ayant fait remarquer que Jésus ne prêcha qu'un an au dire de la
légende, et qu'il était trop jeune pour avoir pu enseigner quelque
chose d'important, Irénée a un bel accès d'indignation et certifie
que Jésus prêcha plus de dix et même de vingt ans! La tradition
seule, dit-il, parle de dix ans (lib. II, c.22, pp.4, 5). Ailleurs,
il fait mourir Jésus âgé de plus de
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cinquante ans!! Or, si déjà en l'année 180 un père de l'Église a
recours à la tradition et que personne n'était sûr de rien et qu'on
ne faisait pas grand cas des Évangiles ?des Logia dont il y avait
plus de soixante,?qu'a à faire l'histoire dans tout ceci? Confusion,
mensonges, fourberies et faux, voilà le bilan des premiers siècles.
Eusèbe de Césarée, le roi des falsificateurs, insère les fameuses 16
lignes touchant Jésus, dans un manuscrit de Josèphe, pour donner le
change aux gnostiques qui niaient qu'il y eût jamais eu un personnage
réel du nom de Jésus.* Plus encore: il attribue à Josèphe, un
fanatique mort comme il avait vécu, en Juif obstiné, la réflexion
qu'il n'est peut-être pas juste de l'appe]er (lui, Iasous) un homme
(), car il était l'Oint du Seigneur, c'est-à-dire le Messie!! (Voyez
Josèphe, Antiq., lib. XVIII, cap. iii, 3.)
Mais à quoi bon perdre son temps à redire des choses que tout homme
bien élevé connaît. Monsieur l'abbé nous renvoie, à tout moment, aux
Évangiles et à saint Paul, et, faisant pleuvoir un torrent de
citations, il demande triomphalement: «Est-ce assez clair? Le Christ
ne dit-il pas lui-même ceci et cela, et saint Paul ne nous assure-t-
il pas que. . ., etc., etc». Inutile de dire que pour que les paroles
de Jésus obtiennent quelque valeur comme preuve, il faut d'abord que
l'authenticité des Évangiles soit prouvée. Jésus, qu'il ait vécu à
cette époque ou auparavant, n'a rien écrit, et ce qu'on lui fait dire
dans les quatre Évangiles est parfois terriblement contradictoire.
Quant à Paul, personnage historique certainement, il serait difficile
de se retrouver au milieu de ce qu'il dit lui-même et de ce que ses
éditeurs et correcteurs lui font dire. Il est restécependant?par
inadvertance sans doute?une phrase, de lui ou de ses collaborateurs,
qui résume en deux mots ce qu'on pensait de Jésus. Voyez Épitre aux
Hébreux, ii, 9;
??????????
* Ajoutez à cela qu'il invente le fameux monogramme pour le Labarum
de Constantin (combinaison de X, Chi, P, Rho, initiales de Christos
qu'il applique à Jésus) et fabrique la vision de cet empereur. Mais
Gibbon et d'autres historiens ont depuis longtemps jugé Eusèbe dont
on connaît la valeur maintenant.?Voir dans un prochain numéro du
Lotus mes notes (No. 3) à ce sujet.
??????????
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vous y lirez que Jésus a été fait «inférieur aux anges». Cela nous
suffit. Celui qui est inférieur aux anges peut-il être Dieu, l'Infini
et l'Unique?
Oui tout homme, tout Ju-su (nom d'Horus, Khons, le Fils, type de
l'homme), tout initié surtout dont le corps est fait inférieur à
celui des anges, peut, en présence de son Atman (Esprit divin), dire:
Vivit vero in me Christus, comme il dirait: Krishna, Bouddha or
Ormuzd vit en moi.* Après avoir répété ce que j'avais dit dans mes
«Notes» du Christos ne se développant que par le Chrestos, comme s'il
disait quelque chose de neuf et venant de lui, Monsieur l'abbé
s'écrie d'un ton menaçant que nul n'entrera dans ce corps glorifié
sinon par la «voie critique et la porte étroite». Pour lui, c'est le
Nirvana béatique, et il continue à prêcher ce que nous prêchons
depuis douze ans et ce que je disais encore dans mes Notes. Il me
permettra d'achever ce qu'il laisse en si beau chemin, ne trouvant
cette voie que dans le giron de son Église, de sa foi à lui.
Malheureusement son angusta porta, et arcta via ne peuvent
s'appliquer ni à son Église ni à sa foi. Dans cette Église où tout
s'achète, crimes et indulgences, amulettes et béatitude (sur terre,
du moins; quant au Ciel?après moi le Déluge!), la voie et la porte
s'élargissent en proportion des sommes payées par le croyant. Arrière
religion de Judas! C'est à (saint) Pierre que son maître a dit: VADE
RETRO SATANAS! La preuve en est dans l'Évangile même, disje, répétant
la phrase coutumière de M. l'abbé Roca.
-?????????
* En hébreu, I'homme, ou A¿sh (:*!) donne par dérivation
cabbalistique cette autre forme :*, Jesh, en grec et en fran,cais Jes-
us, signifiant en même temps lefeu, le soleil, là divinité et
l'homme. Ce mot (voyez-le avec les points de la massore) était
prononcé :!, ish ou Jesh, l'homme dans ce cas. La forme féminine
était %:!, Issa, la femme; en égyptien Isi-s, Isis. La forme
collatérale en était *:* Jesse, ou Isi, dont le féminin en égyptien
était Isi-s. Mais Isi est l'équivalente de Jesse, le père de David,
de la race de qui vient Jésus, Jes-us. C'est qu'il faut connaître la
langue du Mystère et du Symbolisme avant de parler avec tant
d'autorité, et cette langue l'Eglise l'a perdue.?Voir mes notes (No.
4) dans un prochain numéro du Lotus.
??????????
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called Jehoshua (from which Jesus has been made) born at Lüd or Lydda
about 120 years before the modern era. And if this fact is denied?to
which I can hardly object?one must resign oneself to regard the hero
of the drama of Calvary as a myth pure and simple. As a matter of
fact, in spite of all the desperate research made during long
centuries, if we set aside the testimony of the "Evangelists," i.e.,
unknown men whose identity has never been established, and that of
the Fathers of the Church, interested fanatics, neither history, nor
profane tradition, neither official documents, nor the contemporaries
of the soi-disant drama, are able to provide one single serious proof
of the historical and real existence, not only of the Man-God but
even of him called Jesus of Nazareth, from the year 1 to the year 33.
All is darkness and silence. Philo Judaeus, born before the Christian
Era, and dying quite some time after the year when, according to
Renan, the hallucination of a hysterical woman, Mary of Magdala, gave
a God to the world, made several journeys to Jerusalem during that
interval of forty-odd years. He went there to write the history of
the religious sects of his epoch in Palestine. No writer is more
correct in his descriptions, more careful to omit nothing; no
community, no fraternity, even the most insignificant, escaped him.
Why then does he not speak of the Nazarites? Why does he not make the
least allusion to the Apostles, to the divine Galilean, to the
Crucifixion? The answer is easy. Because the biography of Jesus was
invented after the first century, and no one in Jerusalem was better
informed on the subject than Philo himself. We have but to read the
quarrel of Irenaeus with the Gnostics in the 2nd century, to be
certain of it. Ptolemaeus (180 A.D.), having remarked that Jesus
preached one year according to the legend, and that he was too young
to have been able to teach anything of importance, Irenaeus had a bad
fit of indignation and testified that Jesus preached more than ten or
even twenty years! Tradition alone, he said, speaks of ten years
(Contra Haereses, lib. II, cap. 22, para. 4-5). Elsewhere, he makes
Jesus die at the age of fifty years or more!! Now, if as early as the
year 180, a Father of the Church had recourse to tradition, and if no
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one was sure of anything, and no great importance was attributed to
the Gospels?to the Logia of which there were more than sixty?what
place has history in all of this? Confusion, lies, deceit, and
forgery, such is the ledger of the early centuries. Eusebius of
Caesarea, king of falsifiers, inserted the famous 16 lines referring
to Jesus in a manuscript of Josephus, to get even with the Gnostics
who denied that there ever had been a real personage named Jesus.*
Still more: he attributed to Josephus, a fanatic who died as he had
lived, a stubborn Jew, the reflection that it is perhaps not correct
to call him (Iasous) a man ("<ZD), because he was the Lord's
Anointed, i.e., the Messiah!! (Vide Josephus, Antiq., lib. XVIII,
cap. iii, 3.)?
But what use is it to waste time repeating what every well-educated
man knows. The Abbé continually refers us to the Gospels and to St.
Paul, and, showering on us a torrent of quotations, triumphantly
demands: "Is this clear enough? Did not Christ himself say this and
that, and does not St. Paul assure us that. . . etc., etc., . . ." It
is hardly necessary to say that for the words of Jesus to possess any
value as proof, the authenticity of the Gospels must first be proved.
Jesus, whether he lived at that epoch or earlier, never wrote
anything, and what he has been made to say in the four Gospels is
sometimes terribly contradictory. As to Paul, undoubtedly a
historical personage, it would be difficult to separate, in his
writings, what he said himself and what his editors and correctors
have made him say. However, there remains?doubtless by inadvertence?
one expression, by him or by his collaborators, which sums up in two
words what was thought about Jesus. Look up the Epistle to the
Hebrews, ii, 9; you will read there that Jesus was made "inferior to
the angels." That is enough for us.
??????????
* Add to this that he invented the famous monogram for the Labarum of
Constantine (a combination of X Chi, and P Rho, initials of Christos
which he applied to Jesus) and fabricated the vision of that Emperor.
But Gibbon and other historians have judged Eusebius long ago, and
his value is well known now. See my notes (No. 3), on this subject,
in a forthcoming number of Le Lotus.
? [Also 63-64, acc. to the pagination of the Greek text.?Compiler.]
??????????
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